“On est plus nous-même quand on se rend au premier tee”, se souvient Nicolas Colsaerts quand on lui parle de son premier coup à la Ryder Cup 2012.
“J'étais complètement dans le brouillard, complètement déboussolé. J'entendais mon coeur battre. Plus élevé que d'habitude. Je n'avais aucune force dans les jambes et les mains. Je voyais à peine la balle. C'était plutôt une tâche blanche J'espérais la toucher. Que j'allais faire un swing plus ou moins convenable. Ce que j'ai réussi. Bois 3 et 280 mètres…
Un des coups les plus compliqués que j'ai dû faire au cours de toute ma carrière.”